Le pasteur Moïse Mbiye en mission évangélique et caritative à Goma pour soutenir les déplacés de guerre

Le pasteur et chanteur compositeur Moïse Mbiye est actuellement en séjour à Goma pour une mission à la fois évangélique et caritative en faveur des déplacés de guerre.

Cette initiative se déroule sous le partenariat avec le Fonds National des Réparations des Victimes de violences sexuelles liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l'humanité, également connu sous le sigle du FONAREV.

L'arrivée de la Directrice Générale Adjointe, Emmanuella Zandi, ainsi que de l'Ambassadeur des victimes, le Pasteur Moïse Mbiye, à Goma a été marquée par une rencontre protocolaire avec le Gouverneur Militaire du Nord-Kivu, le Général-major Peter Cirimwami .

Cette étape constitue le prélude à une série d'activités prévues en faveur des victimes, en particulier des déplacés internes résidant dans divers camps situés en périphérie de Goma.

Il convient de rappeler que le FONAREV est un établissement public institué par la loi n°22/65 du 26 décembre 2022, définissant les principes fondamentaux relatifs à la protection et à la réparation des victimes de violences sexuelles liées aux conflits et des victimes de crimes contre la paix et la sécurité de l'humanité.

Ce fonds, dont le siège social est à Kinshasa, déploie ses actions sur l'ensemble du territoire national conformément aux dispositions du décret n°22/38 du 06 décembre 2022 fixant ses statuts.

L'engagement du Pasteur Moïse Mbiye et de ses partenaires en faveur des populations affectées par les conflits et les violences démontre une solidarité active envers les plus vulnérables.

Cette mission conjointe témoigne de l'importance de l'action humanitaire et de la collaboration entre les différentes entités pour apporter un soutien essentiel aux personnes en situation de détresse.

La présence du pasteur et de ces acteurs clés à Goma suscite de l'espoir et renforce l'attention portée aux besoins des victimes, ainsi qu'à la reconstruction et à la résilience des communautés touchées par les violences et les déplacements forcés. Mediacongonet/ via Oyebi